La Commission européenne lance une offensive contre la Pologne et la Hongrie
Infraction concernant les droits prétendument fondamentaux des personnes LGBT.
Procédure visant les soit disant zones anti LGBT de Pologne dont Tysol France a fait la preuve qu'elles sont inexistantes d'une part et d'autre part, pour la Hongrie, il s'agit de la loi de protection des mineurs contre la pédophilie et la sexualisation des enfants. Mais c'est le volet de la dite loi hongroise visant à épargner les enfants de la propagande LGBT et de la théorie du genre à l'école qui pose problème à la Commission européenne.
Une infraction conjointe qui empêchera la Pologne de voter en faveur de la Hongrie et inversement. Ce qui est inédit dans l'histoire de l'Union Européenne.
Espérons que, les Polonais et les Hongrois bénéficient du soutien d'autres états.
Pour la Commission européenne les désidératas d'adultes qui agissent en connaissance de la loi et des valeurs morales et plus importante que la protection des enfants.
Depuis, l'affaire du fichier de Zandvoort, qu'a fait la Commission européenne pour la protection des mineurs ?
Où en sont les enquêtes concernant les ramifications européennes de l'affaire Epstein ?
Quand on sait que 1 enfant sur 5 en Europe est victime de la pédo-criminalité, que font-ils ?
Pas grand-chose me direz-vous.
En effet, pas grand-chose.
N'oublions pas que les instances européennes sont dirigées par la génération de Mai 68 et du Summer of Love, la génération des pétitions pro-pédophilie de Libération et du Monde.
Pour la Commission européenne, les LGBT ont plus de droits que les enfants.
Pour la Commission européenne, la lutte contre la pédophilie est accessoire.
On émet le souhait de voir sanctionnés les pays qui sacralisent l'enfant, mais on est complaisant avec des pays qui ouvrent la voie aux bloqueurs de puberté pour les enfants dits transgenres, enfants bien souvent manipulés et utilisés comme tremplin médiatique pour des parents en manque de quart d'heure warholien.
Cette procédure sans précédent, devrait nous alerter sur les réelles motivations de la Commission.
Cette procédure, et une atteinte aux valeurs morales des états de l'Union Européenne.
Florian Marek.