La honte aux deux visages : à propos de la tribune Fellous-Smadja

Ces deux sinistres individus poursuivent ici leur « œuvre », puisqu’ils avaient déjà milité pour la vaccination obligatoire des soignants
 La honte aux deux visages : à propos de la tribune Fellous-Smadja

 

"Le Parisien" a publié récemment en exclusivité (réjouissons-nous de ne pas l’avoir vue ailleurs !) une tribune que l’on pourrait qualifier d’alliance du gant de latex et du gant de coton, celle d’un « médecin », un certain David Smadja, professeur en hématologie, avec un certain Benjamin Fellous, avocat (et accessoirement membre de LREM). On ne parle pas ici d’une alliance pour le meilleur mais d’une alliance pour le pire, puisque cette tribune cosignée par les deux sus-nommés vise à une seule chose : poursuivre pénalement les non-vaccinés qui, je cite, « transmettraient le virus » et ceux qui « colportent de fausses informations sur la pandémie de Covid-19 ». Ces deux sinistres individus poursuivent ici leur « œuvre », puisqu’ils avaient déjà milité pour la vaccination obligatoire des soignants qui, et j’ose le redire ici sans ambiguïté, est une véritable vérole des libertés individuelles et surtout du droit fondamental de disposer librement de son corps. Maintenant, ainsi que le sont tous les mégalomanes, ils ont la folie des grandeurs et veulent étendre cette vérole à l’ensemble de la population française.


Leur argumentaire est évidemment risible et s’appuie en grande partie sur la décision du Conseil d’État qui avait entériné la vaccination obligatoire des soignants tout en reconnaissant une atteinte à l’intégrité physique et à la vie privée. En somme, leur argumentaire repose sur l’avis d’une bande d’énarques, de têtes sénescentes, de hauts fonctionnaires mijotés à la sauce Macron le tout ayant pour chef suprême un individu nommé par le président lui-même ! On notera d’ailleurs que Bruno Lasserre, celui sous lequel le Conseil d’État a décidé de rendre obligatoire la vaccination des soignants, a été mis en examen en 2019 pour « harcèlement moral » suite au suicide d’un de ses employés. Bref, leur argumentaire repose sur cet agrégat d’une neutralité et d’une compétence à toute épreuve comme on peut le voir, un agrégat de sinistres individus qui à l’instar des deux signataires de la tribune n’ont aucun intérêt à défendre les libertés du peuple à moins qu’elles puissent servir leurs intérêts personnels. D’après eux et d’après le Conseil d’État, il y aurait, un moment donné, une notion d’équilibre entre le risque et le bénéfice qui pourrait, dans certains cas, justifier que l’intérêt collectif prime sur l’intérêt individuel. D’une part, ni ces deux tribuns de pacotille, ni le Conseil d’État, ni même le président, ni même le roi du monde s’il y en avait un n’a la possibilité de sacrifier la liberté de disposer de son corps, puisque le seul propriétaire de cette liberté, c’est l’individu lui-même. Nul ne peut hypothéquer cette liberté à l’exception de son unique propriétaire. D’autre part, si l’on peut éventuellement saisir les contours de poursuites pénales à l’égard des désinformateurs (encore faut-il définir les contours d’une désinformation puisque des informations fausses un jour peuvent être vraies le lendemain !), comment définir des poursuites pénales à l’égard d’un non-vacciné qui aurait contaminé son voisin ? Benjamin Fellous triture le droit pour essayer de faire émerger un délit possible, mais M. Fellous est bien ennuyé, car il s’appuie sur une réalité erronée. En effet, le vaccin n’empêche pas la contamination. Il y a aujourd’hui des triples vaccinés qui sont porteurs de la covid (citons, par exemple, Olivier Véran). Il n’empêche pas les vaccinés d’être contagieux, et la preuve en est, énormément de clusters aujourd’hui se trouvent dans des lieux où s’applique le pass sanitaire. Enfin, la tribune des deux compères insiste sur la déprogrammation de soins à cause des patients covid pour donner un contour « humain » à leur proposition. En clair, la menace de poursuite pénale à l’égard des non-vaccinés contaminants pourrait rendre justice à ces patients dont les actes médicaux sont décalés. Mais même là, cette tribune manque de cohérence. Si un non-vacciné contamine un vacciné, en théorie le vacciné ne va pas à l’hôpital, et s’il y va, alors il y serait sûrement allé en étant contaminé par un vacciné également. Quant au non-vacciné, s’il contamine un autre non vacciné, alors la poursuite doit-elle s’exercer contre le non-vacciné contaminant sachant que le plaignant lui-même n’aura pas été « citoyen » en n’étant pas vacciné ? On voit bien que la tribune de Messieurs Smadja et Fellous est bancale. Elle est bancale, car d’une part, elle ne s’inscrit pas dans la politique d’un état de droit, respectueux des libertés fondamentales. On la verrait très bien dans une dictature, dans un état totalitaire. Mais elle l’est encore, car elle s’appuie sur une fausse conception du vaccin contre la covid. Non, il n’immunise pas trois ans comme certains l’avaient annoncé. Non, il n’empêche pas d’être contaminé ni d’être contagieux. Non, il n’empêche même pas de mourir, puisqu’aujourd’hui les chiffres sont clairs : 58 pct des décès liés à la covid à l’hôpital concernent des vaccinés (sources LCI). Même des médecins, à l’instar d’Éric Caumes, pourtant provax, osent dire publiquement que le vaccin contre la covid est, je cite, « décevant ». De fait, il apparaît manifeste que la vaccination obligatoire et les poursuites pénales qui pourraient frapper les récalcitrants seraient non seulement l’expression d’un totalitarisme répugnant, mais en sus tout à fait inefficaces à endiguer ce qui est en réalité la faillite du tout vaccin. Aujourd’hui, qui peut décemment avaler que les 300000 cas de covid journaliers sont le fait de 8 pct de la population qui, à ce rythme, devraient être immunisés en dix jours ? Qui peut décemment avaler que le problème des hôpitaux français ce sont les malades et non le manque de lits et de soignants ? Enfin, qui peut décemment avaler que la solution à une crise sanitaire (dont le ministre de la Santé nous annonce pourtant lui-même le crépuscule) serait plus de destruction des droits fondamentaux ? Non, il est évident que la tribune Fellous/Smadja qui devrait figurer dans tous les livres scolaires pour illustrer le totalitarisme moderne n’est qu’un infâme torchon, qui, s’il n’était numérique, pourrait servir à des fins ayant tout à voir avec le fameux mot de Cambronne qui n’aura jamais été autant d’actualité.

 

Alexandre PAGE, docteur en histoire de l’art, écrivain

 


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Leur argumentaire est évidemment risible et s’appuie en grande partie sur la décision du Conseil d’État qui avait entériné la vaccination obligatoire des soignants tout en reconnaissant une atteinte à l’intégrité physique et à la vie privée. En somme, leur argumentaire repose sur l’avis d’une bande d’énarques, de têtes sénescentes, de hauts fonctionnaires mijotés à la sauce Macron le tout ayant pour chef suprême un individu nommé par le président lui-même ! On notera d’ailleurs que Bruno Lasserre, celui sous lequel le Conseil d’État a décidé de rendre obligatoire la vaccination des soignants, a été mis en examen en 2019 pour « harcèlement moral » suite au suicide d’un de ses employés. Bref, leur argumentaire repose sur cet agrégat d’une neutralité et d’une compétence à toute épreuve comme on peut le voir, un agrégat de sinistres individus qui à l’instar des deux signataires de la tribune n’ont aucun intérêt à défendre les libertés du peuple à moins qu’elles puissent servir leurs intérêts personnels. D’après eux et d’après le Conseil d’État, il y aurait, un moment donné, une notion d’équilibre entre le risque et le bénéfice qui pourrait, dans certains cas, justifier que l’intérêt collectif prime sur l’intérêt individuel. D’une part, ni ces deux tribuns de pacotille, ni le Conseil d’État, ni même le président, ni même le roi du monde s’il y en avait un n’a la possibilité de sacrifier la liberté de disposer de son corps, puisque le seul propriétaire de cette liberté, c’est l’individu lui-même. Nul ne peut hypothéquer cette liberté à l’exception de son unique propriétaire. D’autre part, si l’on peut éventuellement saisir les contours de poursuites pénales à l’égard des désinformateurs (encore faut-il définir les contours d’une désinformation puisque des informations fausses un jour peuvent être vraies le lendemain !), comment définir des poursuites pénales à l’égard d’un non-vacciné qui aurait contaminé son voisin ? Benjamin Fellous triture le droit pour essayer de faire émerger un délit possible, mais M. Fellous est bien ennuyé, car il s’appuie sur une réalité erronée. En effet, le vaccin n’empêche pas la contamination. Il y a aujourd’hui des triples vaccinés qui sont porteurs de la covid (citons, par exemple, Olivier Véran). Il n’empêche pas les vaccinés d’être contagieux, et la preuve en est, énormément de clusters aujourd’hui se trouvent dans des lieux où s’applique le pass sanitaire. Enfin, la tribune des deux compères insiste sur la déprogrammation de soins à cause des patients covid pour donner un contour « humain » à leur proposition. En clair, la menace de poursuite pénale à l’égard des non-vaccinés contaminants pourrait rendre justice à ces patients dont les actes médicaux sont décalés. Mais même là, cette tribune manque de cohérence. Si un non-vacciné contamine un vacciné, en théorie le vacciné ne va pas à l’hôpital, et s’il y va, alors il y serait sûrement allé en étant contaminé par un vacciné également. Quant au non-vacciné, s’il contamine un autre non vacciné, alors la poursuite doit-elle s’exercer contre le non-vacciné contaminant sachant que le plaignant lui-même n’aura pas été « citoyen » en n’étant pas vacciné ? On voit bien que la tribune de Messieurs Smadja et Fellous est bancale. Elle est bancale, car d’une part, elle ne s’inscrit pas dans la politique d’un état de droit, respectueux des libertés fondamentales. On la verrait très bien dans une dictature, dans un état totalitaire. Mais elle l’est encore, car elle s’appuie sur une fausse conception du vaccin contre la covid. Non, il n’immunise pas trois ans comme certains l’avaient annoncé. Non, il n’empêche pas d’être contaminé ni d’être contagieux. Non, il n’empêche même pas de mourir, puisqu’aujourd’hui les chiffres sont clairs : 58 pct des décès liés à la covid à l’hôpital concernent des vaccinés (sources LCI). Même des médecins, à l’instar d’Éric Caumes, pourtant provax, osent dire publiquement que le vaccin contre la covid est, je cite, « décevant ». De fait, il apparaît manifeste que la vaccination obligatoire et les poursuites pénales qui pourraient frapper les récalcitrants seraient non seulement l’expression d’un totalitarisme répugnant, mais en sus tout à fait inefficaces à endiguer ce qui est en réalité la faillite du tout vaccin. Aujourd’hui, qui peut décemment avaler que les 300000 cas de covid journaliers sont le fait de 8 pct de la population qui, à ce rythme, devraient être immunisés en dix jours ? Qui peut décemment avaler que le problème des hôpitaux français ce sont les malades et non le manque de lits et de soignants ? Enfin, qui peut décemment avaler que la solution à une crise sanitaire (dont le ministre de la Santé nous annonce pourtant lui-même le crépuscule) serait plus de destruction des droits fondamentaux ? Non, il est évident que la tribune Fellous/Smadja qui devrait figurer dans tous les livres scolaires pour illustrer le totalitarisme moderne n’est qu’un infâme torchon, qui, s’il n’était numérique, pourrait servir à des fins ayant tout à voir avec le fameux mot de Cambronne qui n’aura jamais été autant d’actualité.

 

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