La manifestation délirante "pro UE" à Varsovie
La manifestation Zostajemy w UE ( Restons dans l'Europe) a donné lieu aux habituelles démonstrations d'agressivité des LGBT, passant par les femmes larmoyantes de ne pouvoir avorter comme autant que faire ce peut, aux fameux "citoyens du monde" écolos voulant accueillir tous les terriens de la Terre.
Une manifestation, digne d'un rassemblement de hippies Woodstockien "foncedé" au LSD et à la Marijuana pour s'ouvrir à un monde cosmique pour un âge de réminiscences anaphoriques et vice et versa. Enfin, vous voyez le tableau!
Une manifestation ponctuée par un discours de Lech Wałęsa, qui ressemble de plus en plus à une ex miss monde devenue, une vielle rombière à bagouzes décadente.
On a même vu des veuves rouges pour les "migrants morts" a la frontière polono-biélorusse, tout un programme !
A group of “red widows” at the pro-EU protest in Warsaw.
— Visegrad 24 🇨🇿🇭🇺🇵🇱🇸🇰 (@visegrad24) October 11, 2021
They represent the blood of the illegal migrants who are allegedly „dying” at the Poland-Belarus border.
🇵🇱🇪🇺pic.twitter.com/yduigbJ2km
La presse occidentale reprenant les chiffres donnés par Rafał Trzaskowski, le maire progressiste de Varsovie, qui annonce 100 000 manifestants. 100 000 manifestants sur la plac Zamkowy ( place du Château des rois).. Cette place du centre centre ville, fait une superficie de 10 000 mètres carrés. Il faudrait mettre 10 personnes par mètre carré pour atteindre les 100 000 hurluberlus. 2, 3 personnes je veux bien, mais 10 par mètre carré. Soit les gauchistes sont devenus des hobbits, soit quelque chose m'échappe.
Une manifestation en vain, une manipulation car le Polexit n'est pas une option envisageable comme l'ont dit le Président polonais Andrzej Duda, le Premier ministre Mateusz Morawiecki et Jarosław Kaczyński patron de la majorité parlementaire.
Leur but est plus de faire changer les règles de l'Union Européenne et de faire respecter les pays et les peuples membres de cette Union.
Encore une manifestation qui démontre l'hystérie gauchiste, le delirium comunistum.
Florian Marek, chroniqueur Tysol.