La médecine sous le manteau à l’heure de la dictature sanitaire
Ayant un déjeuner lundi 30 août, je fais un test antigénique vers 10h. Positif. Bien qu’un peu grippé depuis mon réveil, je suis, je l’avoue, dans le déni, n’étant jamais malade. En rentrant chez moi, je fais un test PCR, puis avant de rentrer, un autre test antigénique, négatif ! Peut-être une fausse alerte. Le lendemain matin le résultat positif du PCR ne laisse place à aucun doute. Je ne suis pas vacciné, cela n’a pour moi aucun sens, le vaccin a un intérêt pour les personnes âgées et/ou à comorbidité, chez qui il diminue les formes graves du Covid, mais la balance bénéfice/risque bascule dans le rouge pour les adultes en bonne santé ainsi que pour les jeunes. Mais il faut se soigner ! Par l’intermédiaire d’une personne connue lors des manifestations anti-pass sanitaire, je suis mis en contact avec un médecin qui, par téléconsultation, me prescrit de l’Ivermectine, de l’Aziyhromycine, du zinc, que j’achète mardi midi. Dès le lendemain, la fièvre et les douleurs musculaires disparaissent, et va rester pendant une semaine de la fatigue et une toux sèche, et une perte de l’odorat à partir du troisième jour. Mais le plus gros est passé, en trois jours je suis sur pied.
Ce que l’on vient de lire devrait être d’une banalité totale, ça ne vaudrait même pas la peine d’être raconté, sauf qu’il s’agit d’une situation exceptionnelle puisque ce traitement est de facto interdit en France, nous le savons. De nombreuses études montrent l’efficacité de ces médicaments, l’Inde peu vaccinée s’en tire remarquablement avec l’Ivermectine, et bien d’autres pays, mon médecin a soigné et guéri 400 personnes, ce qui pèse statistiquement, mais rien n’y fait. J’ai vu la formule circuler sur Twitter : «le système immunitaire a un grave défaut : il est gratuit», et l’Ivermectine ne coûte pas grand chose. Autrement dit, c’est l’énorme marché des vaccins qui perd sa justification et «BigPharma» qui passe à côté de dizaines de milliards de dollars de recettes si ce traitement simple est généralisé…
En postant cette information sur mon compte Twitter, j’ai pu mesurer l’énorme succès qu’elle a rencontrée (2 millions de vues le premier jour), mais aussi le désespoir qu’elle suscite, de nombreux personnes me demandant le nom de ce médecin, ce que je peux faire. Le collectif Laissons-les prescrire défend ces médecins, on peut trouver quelques noms, mais plus les listes plus importantes qui y ont figuré (a-t-il subit des pressions ?). C’est une chance ou un privilège d’accéder à ce traitement en France, ce qui est profondément scandaleux. Nous sommes en dictature sanitaire.
Je vais bénéficier d’un «certificat de rétablissement», c’est-à-dire d’un pass valable six mois, mais je continuerai bien sûr à manifester contre, et j’encourage chacun à le faire, vacciné ou pas, ce n’est pas le problème. Même vacciné on peut attraper le Covid, alors autant guérir rapidement. Manifester est une façon de faire pression sur le pouvoir (rajoutons le slogan «on veut de l’Ivermectine!»), mais je suggère aussi que chacun demande à son médecin s’il lui prescrirait ce traitement en cas de Covid : si oui cela fera une solution pour vous et vos proche, en cas de non, marquez votre désapprobation et indiquez que vous chercherez un médecin non inféodé au pouvoir criminel qui nous dirige. Par tous les moyens il faut dénoncer ce scandale qui met la vie de Français en jeu, ou leur rétablissement rapide, ce qui n’est pas rien.
Lundi dernier j’étais testé positif au #Covid, avec fièvre et douleurs. En trois jours j’étais guéri avec l’#Ivermectine et l’#Azythromycine.
— Philippe Herlin (@philippeherlin) September 6, 2021
➡️ Je peux donc témoigner de l’efficacité réelle de ce traitement, et du caractère criminel du pouvoir qui en prive les Français. pic.twitter.com/ZoHCo90nPD
Économiste & essayiste, Docteur en économie du CNAM