Pologne: la loi va garantir la liberté d'expression des universitaires

A l'heure où, les universités et le gouvernement français cèdent face aux divers délires gauchistes. Souvenez-vous, l'interdiction de la conférence à l'Université de Bordeaux ou Sylviane Agacinski devait intervenir. Souvenez-vous, de l'annulation de la conférence à Lille avec Geoffroy Lejeune. Ou plus récemment la mise à l'index des professeurs jugés comme "islamophobes" par l'UNEF de Grenoble.

En Pologne le ministre de l'éducation Przemysław Czarnek et le gouvernement conservateur du PiS ont décidé, de ne pas suivre cette tendance qui frappe toute la sphère universitaire européenne. 

Une loi protégeant la liberté d'expression et d'enseignement des professeurs d'universités est dans les tuyaux, sifflant ainsi, la fin de la récré. 

L' américanisation des campus c'est, non!

Le point de départ de cette loi nous est brillamment raconter par le journaliste du Visegrad post, Olivier Bault :

«Une sociologue de l’Université de Silésie, à Katowice, a fait l’objet d’un blâme au terme d’une longue procédure disciplinaire consécutive à une plainte déposée par des étudiants après un cours consacré à la famille telle que perçue par la religion chrétienne. Ce cours était donné dans le cadre d’un enseignement sur  les  « liens intergénérationnels dans les familles du monde ». Ce qui avait scandalisé quelques étudiants, c’est le fait que leur professeur ait, pendant le cours, appelé « enfant » l’être humain en phase prénatale et qu’elle ait évoqué la famille comme cellule de base naturelle d’une société et comme fondée sur l’union d’un homme et d’une femme. Cela correspond pourtant à la définition du mariage dans la constitution polonaise.

Quelques étudiants d’extrême gauche ont donc estimé que le professeur Ewa Budzyńska avait voulu imposer à ses étudiants « une idéologie anti-choix, des opinions homophobes, de l’antisémitisme, de la discrimination confessionnelle, des informations non conformes aux connaissances scientifiques actuelles, en faisant la promotion de vues catholiques radicales ». Le « médiateur disciplinaire » de l’Université de Silésie a entamé une procédure contre l’enseignante qui a abouti, comme indiqué plus haut, à un blâme confirmé par la commission de discipline de l’établissement en mars dernier.»

Cette affaire, pas si exceptionnelle que cela, n'est pas passé inaperçue. 

En effet, le gouvernement par l'intermédiaire de son ministre de l'éducation viennent de présenter une loi protégeant la liberté d'expression et d'enseignement des professeurs. 

Pour le moment, la dite loi est en discussion au parlement. 

Cette loi fera porter la responsabilité de la liberté des professeurs, sur les présidents d'université.

le Défenseur des droits polonais Adam Bodnar connu pour son gauchisme est très critique vis à vis de cette loi.

Rappelons que, ce dernier a été  nommé à ce poste par les progressistes de la PO de Donald Tusk en 2015 avant les élections, qui ont vu les conservateurs du PiS l'emporter. Un cadeau empoisonné fait par la PO.

Nomination qui, a suscité moins de désapprobation par les médias français, que celle d'Amy Coney Barrett par le Président Trump avant les élections de 2020.

Pour Bodnar, qui est en fin de mandat, s'opposer à cette loi est un dernier baroud d'honneur, un ultime chant du cygne.

Le ministre Przemysław Czarnek s'exprimant lors d'un entretien avec le l'hebdomadaire Do Rzeczy à poser cette question : 

« Avez-vous déjà entendu parler d’une procédure disciplinaire motivée par l’expression de points de vue d’extrême gauche ou libérales-libertaires ? ».

En effet ni en France, ni en Pologne nous trouvons d'exemples contredisant le ministre Przemysław Czarnek. 

A l'heure où en France des professeurs et des intellectuels sont mis au banc de la société universitaire.

A l'heure où en France le gouvernement veut censurer, compter le temps de parole des éditorialistes, contrôler l'expression des personnes sur les réseaux sociaux avec la loi Avia.

A l'heure où la France devient le pays de la liberté d'expression sous contrôle, la Pologne du "controversé et décrié" parti Prawo i Sprawiedliwość ( PiS) devient contrairement à ce que vous disent les médias classiques français, le bastion de la liberté d'expression. 

Florian Marek. 

 

 


 

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A l'heure où, les universités et le gouvernement français cèdent face aux divers délires gauchistes. Souvenez-vous, l'interdiction de la conférence à l'Université de Bordeaux ou Sylviane Agacinski devait intervenir. Souvenez-vous, de l'annulation de la conférence à Lille avec Geoffroy Lejeune. Ou plus récemment la mise à l'index des professeurs jugés comme "islamophobes" par l'UNEF de Grenoble.

En Pologne le ministre de l'éducation Przemysław Czarnek et le gouvernement conservateur du PiS ont décidé, de ne pas suivre cette tendance qui frappe toute la sphère universitaire européenne. 

Une loi protégeant la liberté d'expression et d'enseignement des professeurs d'universités est dans les tuyaux, sifflant ainsi, la fin de la récré. 

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Le point de départ de cette loi nous est brillamment raconter par le journaliste du Visegrad post, Olivier Bault :

«Une sociologue de l’Université de Silésie, à Katowice, a fait l’objet d’un blâme au terme d’une longue procédure disciplinaire consécutive à une plainte déposée par des étudiants après un cours consacré à la famille telle que perçue par la religion chrétienne. Ce cours était donné dans le cadre d’un enseignement sur  les  « liens intergénérationnels dans les familles du monde ». Ce qui avait scandalisé quelques étudiants, c’est le fait que leur professeur ait, pendant le cours, appelé « enfant » l’être humain en phase prénatale et qu’elle ait évoqué la famille comme cellule de base naturelle d’une société et comme fondée sur l’union d’un homme et d’une femme. Cela correspond pourtant à la définition du mariage dans la constitution polonaise.

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Cette affaire, pas si exceptionnelle que cela, n'est pas passé inaperçue. 

En effet, le gouvernement par l'intermédiaire de son ministre de l'éducation viennent de présenter une loi protégeant la liberté d'expression et d'enseignement des professeurs. 

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Rappelons que, ce dernier a été  nommé à ce poste par les progressistes de la PO de Donald Tusk en 2015 avant les élections, qui ont vu les conservateurs du PiS l'emporter. Un cadeau empoisonné fait par la PO.

Nomination qui, a suscité moins de désapprobation par les médias français, que celle d'Amy Coney Barrett par le Président Trump avant les élections de 2020.

Pour Bodnar, qui est en fin de mandat, s'opposer à cette loi est un dernier baroud d'honneur, un ultime chant du cygne.

Le ministre Przemysław Czarnek s'exprimant lors d'un entretien avec le l'hebdomadaire Do Rzeczy à poser cette question : 

« Avez-vous déjà entendu parler d’une procédure disciplinaire motivée par l’expression de points de vue d’extrême gauche ou libérales-libertaires ? ».

En effet ni en France, ni en Pologne nous trouvons d'exemples contredisant le ministre Przemysław Czarnek. 

A l'heure où en France des professeurs et des intellectuels sont mis au banc de la société universitaire.

A l'heure où en France le gouvernement veut censurer, compter le temps de parole des éditorialistes, contrôler l'expression des personnes sur les réseaux sociaux avec la loi Avia.

A l'heure où la France devient le pays de la liberté d'expression sous contrôle, la Pologne du "controversé et décrié" parti Prawo i Sprawiedliwość ( PiS) devient contrairement à ce que vous disent les médias classiques français, le bastion de la liberté d'expression. 

Florian Marek. 

 

 



 

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