Les journaux de « référence » Le Monde et Gazeta Wyborcza lancent une campagne de désinformation contre un dirigeant qui menace les intérêts de leurs actionnaires
A plusieurs reprises j’ai démontré que le correspondant du Monde en Pologne, Jakub Iwaniuk, inventait de fausses informations et manipulait la réalité. Je tiens d’ailleurs à la disposition de tous les journalistes les preuves de ses fake news que j’ai transmises aussi à la rédaction du journal Le Monde (si vous souhaitez en savoir plus vous pouvez aller sur Twitter en recherchant les mots clefs « @patrick_edery Iwaniuk ou @JakubIwaniuk ou correspondant pologne » ses manipulations et mensonges sont tellement énormes que régulièrement je me sens obligé de revérifier qu’il les a bien écrites.
Donc cette fois M. Iwaniuk a décidé de participer à une chasse à l’homme organisée par le groupe de presse progressiste polonais de Gazeta Wyborcza qui a pour actionnaire George Soros, contre Daniel Obajtek. M. Obajtek est le PDG d’une des plus grandes sociétés polonaises et d’Europe centrale. Cette société est détenue à plus de 70% par des actionnaires privés et un peu plus de 27% par l’Etat polonais et était spécialisée, jusqu’il y a peu, dans le raffinage de pétrole et la distribution d'essence.
M. Obajtek est détesté par Gazeta Wyborcza et M. Soros car c’est l’un des rares patrons de grand groupe qui ne cache pas être conservateur et refuse de soumettre ses employés au politiquement correct et aux délires de l’idéologie progressiste. Il a déclenché la fureur des progressistes quand il a annoncé se diversifier dans la presse et racheté à un groupe allemand, Polska Press qui rassemble plusieurs titres de presse polonais concurrents du Groupe de presse de Gazeta Wyborcza. Ce dernier ne cache pas sa détestation du parti conservateur au pouvoir en Pologne. Il est vrai que depuis que le parti progressiste « PO » (équivalent d'En Marche!) qu’il supportait publiquement, n’est plus au pouvoir il ne touche plus 50% des subventions publiques à la presse alors qu’il représente moins de 20% des tirages. De plus l’arrivée, en 2018, de M. Obajtek aux commandes d’Orlen, grand annonceur et sa reprise aux Allemands de titres de presse polonais n’ont pas été forcément une bonne nouvelle pour la régie publicitaire de Gazeta Wyborcza. Vous vous doutez aussi que le milliardaire ultra-progressiste George Soros, qui prône une Europe sans frontière, ne voit pas non d’un bon œil qu’un conservateur reprenne des titres de presse dans sa zone d’influence préférée : l’Europe centrale. Aussi Gazeta Wyborcza a lancé une campagne de calomnies contre M. Obajtek afin que ses actionnaires s’en séparent. Vous imaginez bien que si l’opération fonctionne, le remplaçant de M. Obajtek fera attention à bien satisfaire Gazeta Wyborcza et son actionnaire Soros s’il veut garder son poste.
Pour avoir un vu d’ensemble des enjeux en présence, il faut savoir aussi que M. Obajtek a des visées dans le gaz, que la société qu’il dirige, Orlen, est présente en Tchéquie et qu’il a pour ambition d’être un opérateur énergétique de premier plan dans les pays d’Europe centrale. Or M. Kretinski, milliardaire tchèque, actionnaire du journal Le Monde est à la tête d’un groupe énergétique en Europe centrale et selon plusieurs sources tirait ses principaux revenus du gaz. Daniel Obajtek est donc clairement pour lui un concurrent potentiel.
Bien sûr M. Iwaniuk ne vous donne pas tous ses éléments de contextualisation sur son ancien employeur, Gazeta Wyborcza et l’actionnaire de son actuel : Le Monde. Non il ne fait que reprendre dans un gloubi-boulga d’insinuations laissant entendre (sans jamais affirmer pour éviter des poursuites judiciaires) que Daniel Obajtek aurait pu tremper dans des détournements de fonds et des affaires de corruption en collusion avec le crime organisé. "Bizarrement" M. Iwaniuk "oublie" de dire aussi que les tribunaux sous l’ancien gouvernement progressiste ont démontré que c’était des calomnies. Que les insinuations qu’il relaye proviennent de personnes condamnées à plusieurs reprises. M. Iwaniuk ne dit pas non plus que M. Obajtek pour démontrer qu’il s’agissait d’une campagne de déstabilisation sans fondement a mis à disposition ses documents financiers, actes notariés, déclarations fiscales, conventions de vente ou donation de biens immobiliers, déclarations de propriété, conventions de prêt et de crédit couvrant les années 1998-2020. Résultat, Daniel Obajtek a gagné 1,5 million d'euros en 23 ans...
Il est particulièrement inquiétant pour la démocratie que les journaux dits de « référence » en France (Le Monde) et en Pologne (Gazeta Wyborcza) désinforment les citoyens et que cette désinformation sert les intérêts économiques de leurs actionnaires.