La Pologne contre la dictature sanitaire
Cette information nous est rapportée par notre rédacteur en chef Patrick Edery sur Twitter.
La #Pologne dit non à la dictature sanitaire❗️
L'équivalent du conseil scientifique Covid19 démissionne car le 1er ministre polonais refuse d'appliquer les mesures liberticides recommandées par les membres du conseil:
1. Forcer la vaccination via le pass
2. Confiner & discriminer
Quelles sont les raisons de cette démission massive ?
Premièrement, le gouvernement polonais a osé lui tenir tête.
En effet, le gouvernement polonais refuse de pratiquer la ségrégation sanitaire, tout autant liberticide qu'absurde et inefficace telle qu'elle est pratiquée en France et plus largement dans les pays ouest européens.
Le gouvernement polonais, refuse de mettre en œuvre le pass sanitaire ou vaccinal, qui été demandé par les membres du conseil scientifique polonais.
En Pologne, il n'y a pas de pass, ni d'obligation vaccinale.
Le gouvernement polonais a préféré une stratégie d'incitation positive et non punitive à l'inverse de celle mise en place par le gouvernement français dont le ministre de la santé Olivier Véran, triplement vacciné, a été testé positif au covid.
Deuxièment, Barbara Nowak, rectrice du ministère de l'éducation, a parlé de "vaccins expérimentaux" dans la presse polonaise.
Ce qui n'a pas plu aux membres démissionnaires qui ont exigé le renvoi de Barbara Nowak.
Les faits donnent pourtant raison à Barbara Nowak.
En effet, les vaccins sont en phase 3 de l'essai clinique et disposent, au niveau européen, d'une autorisation de mise sur le marché conditionnelle jusqu'en 2023.
Le gouvernement polonais n'a pas intercédé aux exigences déraisonnables de son conseil scientifique.
Voici pourquoi le conseil scientifique polonais démissionne.
Dans un pays rompu au totalitarisme, on sait le prix de la liberté.
Terminons par une citation, à méditer, de Benjamin Franklin ; scientifique, homme politique et père fondateur des États-Unis d'Amérique :
"Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux".
Florian MAREK, chroniqueur Tysol.